Suite à leur journée start-up, retrouvez l'article rédigé par un des élèves de la classe de Terminale Montagne :
"Le jeudi 14 octobre matin, notre classe de Terminale Montagne s'est rendu avec notre professeur principal M. Baudet, et le professeur de mathématiques M. Bessière à la Toulouse Business School (TBS) à Compans Caffarelli, dans le centre-ville de Toulouse.
Nous avons été accueillis par Mme Lainé. Elle nous a fait découvrir l'incubateur, un lieu de l'école, ouvert en 2012, dont elle est responsable, visant à accompagner, aider, conseiller des personnes, des étudiants particulièrement, dans le développement, la construction de leur projet entrepreneurial. Elle était accompagnée de quatre étudiants de l'incubateur, dont deux travaillant pour le même projet. Ceux-ci nous ont parlé de leur projet et de la manière dont ils sont accompagnés par l'incubateur. Concrètement, il propose un coaching par des professeurs et des professionnels, des entretiens avec ceux-ci, des ateliers, et offre un lieu de travail qu’est l’open space dans lequel nous nous trouvions. Les élèves ont droit à 6 mois d’incubateur, pouvant être prolongés. L’entrée se fait sur sélection. Le coût est de 3600 € avec une possibilité d’aides. Mme Lainé nous a également donné des conseils pour les interventions à l’oral. L’oral est une chose importante dans ce domaine, car l’on est amené à réaliser des Speechs, c’est-à-dire une courte allocution de circonstance.
Nous nous sommes ensuite rendus au jardin de Compans Caffarelli où nous avons pique-niqué dans l’herbe sous le soleil.
Rentrés après au lycée, nous avons eu à 14h30 une conférence pour toutes les terminales, par trois femmes de la start-up Cenareo. Elles nous ont présenté l’environnement particulier de la start-up. Une start-up est une forme d’entreprise qui se distingue des entreprises habituelles par le fait qu’elle part d’une innovation, c’est-à-dire de l’application industrielle ou commerciale d’une invention ou d’une découverte. Cela peut-être un objet ou un service, ou concerné la manière de produire, le process. On note également comme différence le fait que la start-up n’a pas un mode économique fixe, le chiffre d’affaires est réinvesti dans la recherche et l’innovation, de plus la hiérarchie est moins cloisonnée. Elle se caractérise aussi par de grandes ambitions de ses membres. Cette start-up produit des boitiers, accompagnés d’une application, permettant de diffuser sur des écrans des éléments, à distance. Elle vise le commerce, le commerce en interne, et les régies publicitaires. Elle est née, à la suite de la vue de beaucoup d’écrans noirs, en 2012. Elle fut d’abord constituée de 4 salariés et en compte aujourd’hui 30. Cette start-up se situe l’IoT Valley, à Labège, une communauté d’entreprises fondée en 2011, spécialisée dans l’internet des objets. Celle-ci loge des start-ups et est engagée dans le fondement de 10 start-ups par an.
Rentrés après au lycée, nous avons eu à 14h30 une conférence pour toutes les terminales, par trois femmes de la start-up Cenareo. Elles nous ont présenté l’environnement particulier de la start-up. Une start-up est une forme d’entreprise qui se distingue des entreprises habituelles par le fait qu’elle part d’une innovation, c’est-à-dire de l’application industrielle ou commerciale d’une invention ou d’une découverte. Cela peut-être un objet ou un service, ou concerné la manière de produire, le process. On note également comme différence le fait que la start-up n’a pas un mode économique fixe, le chiffre d’affaires est réinvesti dans la recherche et l’innovation, de plus la hiérarchie est moins cloisonnée. Elle se caractérise aussi par de grandes ambitions de ses membres. Cette start-up produit des boitiers, accompagnés d’une application, permettant de diffuser sur des écrans des éléments, à distance. Elle vise le commerce, le commerce en interne, et les régies publicitaires. Elle est née, à la suite de la vue de beaucoup d’écrans noirs, en 2012. Elle fut d’abord constituée de 4 salariés et en compte aujourd’hui 30. Cette start-up se situe l’IoT Valley, à Labège, une communauté d’entreprises fondée en 2011, spécialisée dans l’internet des objets. Celle-ci loge des start-ups et est engagée dans le fondement de 10 start-ups par an.
Les trois femmes nous ont présenté en détail leur fonction. Une est ingénieur logiciel (Full stack sotware engineer, « ingénieur de toute la pile »), et s’occupe de l’application sur la forme. Une autre gère les différents projets de la start-up (Project manager officer, chargé de projet et de mission). La dernière est dans les ressources humaines (Talent acquisition manager, responsable de l’acquisition de talents), elle s’occupe de l’acquisition de nouvelles personnes dans la start-up, elle les va les chercher et les embauche. Le nom de leur fonction, tout comme le vocabulaire de leur start-up est en Anglais, car Cenareo est actif à l’échelle internationale. L’Anglais est donc important chez eux. Elles ont également mis l’accent sur la représentation des femmes dans leur secteur d’activité. Dans leur conclusion, elles ont cherché à nous motiver dans le fait d’entreprendre.
Cette journée a eu pour but de nous faire découvrir le milieu de l’entreprenariat, de la start-up en particulier. Différentes interventions se sont voulues motivantes pour la construction d’un projet entrepreneurial. Cela cherchait à être une aide dans la recherche d’orientation des élèves. Elle fut également l’occasion d’un moment de cohésion pour la classe.
Merci aux professeurs encadrants et particulièrement à M. Baudet pour l’organisation."
